NOUS AVONS LE PLAISIR DE VOUS INVITER À UNE CONFÉRENCE SUR
LE PÉRICARDE, UNE RENCONTRE AVEC SOI
Soirée animée par Patricia JOOS, ostéopathie, et « libération du Péricarde », élève de Montserrat Gascon
L’ostéopathie bioénergétique cellulaire – Libération du péricarde a été créée à partir de l’expérience et des recherches de l’ostéopathe Montserrat Gascon.
Cette méthode se différencie d’autres écoles d’ostéopathie, principalement par le fait qu’elle reconnaît le rôle premier des impacts émotionnels sur le cœur-péricarde et de leurs répercussions directes sur notre santé.
Jeudi 25 janvier 2018 – 19h30
Librairie Derain
25 rue Bugeaud, 69006 LYON
Le Péricarde, enveloppe du cœur, est en réalité la première des quatre portes sacrées que nous devons traverser pour pouvoir arriver au centre de notre corps et de notre cœur : c’est là que se trouve l’ESPRIT, le FEU de la Vie, l’ESSENCE de qui nous sommes.
Pour atteindre le cœur, il faut passer par le péricarde.
Le Feu a besoin de l’eau pour s’incarner : une planète d’eau pour un faisceau de Lumière. Notre corps est fait de 75% d’eau contenue pour une grande partie dans nos cellules. L’eau a une mémoire et elle contient l’information qui circule dans tout notre corps. Nos cellules peuvent se contracter, se bloquer à en perdre la mémoire de qui nous sommes.
Le péricarde, qui enveloppe le cœur, le protège des émotions. Mais dans sa contraction, il devient « contre-action » et nous fait perdre la mémoire de notre origine et de notre mission.
- Libérer le péricarde pour redonner le bon sens au mouvement de la vie.
- Libérer le péricarde pour redonner du sens à ma vie.
- Libérer le péricarde pour se libérer des mémoires cellulaires qui nous enferment dans un mode de fonctionnement qui nous empêchent d’exister et
qui nous empêchent d’Être. - Libérer le péricarde comme porte d’entrée principale des émotions, et lieu de rencontre spécifique entre le corps, l’âme et l’Esprit.
L’intériorité, d’ordre spirituel, s’avère unique, exclusive, incommunicable ; en ce domaine, c’est le secret du cœur. Le secret qui unit l’homme et la Divinité demeure inaliénable : ce secret est qualifié de seigneurial. Insaisissable même par le filet de la mémoire, il invite cependant à se souvenir, à remonter à la source.